Je n’aurais pas dû retourner là-bas. Maintenant c’est soudé à mon corps et ça dégouline avec les larmes et dans la sueur. J’essaie de m’oublier dans les fictions des autres et de me saouler d’images (une bonne vingtaine par seconde), et dans mon lit mon corps s’imprime, j’attends que quelqu’un récolte ce qui m’échappe, mais je m’enferme derrière les portes - cinq jusqu’à la rue. 

Mercredi 5 février 2014 à 15:52

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